Transition & stratégie digitale des entreprises | Ecosystème numérique | Accompagnement créateur d’entreprises et startup
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Marc CORNET 2020. Reproduction interdite. Avril 2020.
Rien de compliqué en soi. Comme pour tout métiers, un vocabulaire spécifique est employé entre professionnels du même monde. Malheureusement, le petit Larousse du start-up n’existe pas encore. Remédions (en partie au problème). (Merci à www.medium.com pour les éléments cités)
Structure d’accompagnement de start-up, qui sélectionne fortement les start-up qu’elle accepte à l’entrée, et va les aider à se développer pendant des durées courtes, généralement de 3 à 6 mois. Les accélérateurs privés et indépendants vont se rémunérer en capital en prenant quelques points du capital, qui se valoriseront quand les start-up se revendront. Les accélérateurs, à l’inverse des incubateurs, n’ont pas forcément de locaux à proposer aux sociétés. Ils apportent une prestation de conseil, de coaching, de méthodologie, et potentiellement des ressources techniques (CTO, UX…). Les accélérateurs peuvent aussi investir du cash dans les start-up qu’ils ont sélectionnées, soit en direct, soit via un fonds attenant.
En informatique, l’AI désigne une machine qui imite les fonctions cognitives que les humains associent à d’autres esprits humains, comme «apprendre» et «résoudre des problèmes» : compréhension du langage humain, la compétition au plus haut niveau dans les systèmes de jeu stratégiques (Echecs, Go…), la conduite de voitures autonomes… Les start-up appliquent mes algorithmes d’AI à un nombre croissant de problématiques pour les “disrupter”.
Emission d’actions nouvelles qui sont achetées par des souscripteurs existants ou nouveaux de façon apporter du cash à la start-up. Cette augmentation de capital dilue les actionnaires existants. Ces actions sont généralement achetées avec une « prime d’émission » par rapport aux actions émises lors de la création de la société, prime d’émission négociée lors de l’entrée.
Vient du jargon cinématographique, pour désigner une star qui va assurer une audience à un film, donc qui va attirer des financements. Par extension, se dit d’un secteur, d’une start-up, d’un entrepreneur ou d’une entrepreneuse très à même d’attirer des investissements.
Technologie inventée en 2008, une blockchain est une liste croissante d’enregistrements, appelés blocs, qui sont liés et sécurisés en utilisant la cryptographie. Chaque bloc contient un extrait du bloc précédent, un horodatage et des données de transaction. Par conception, une blockchain est intrinsèquement résistante à la modification des données. C’est un registre (“Ledger”) ouvert et distribué qui peut enregistrer les transactions entre deux parties de manière efficace, vérifiable et permanente. Une blockchain est généralement gérée et stockée par un réseau d’ordinateurs adhérant collectivement à un protocole commun, y compris pour la validation de nouveaux blocs: la pirater nécessiterait un piratage de la majorité des ordinateurs du réseau. Les blockchains sont donc très appropriées pour l’enregistrement d’événements et de transactions. La blockchain a été utilisée dès 2008 pour créer une “crypto-monnaie” devenue célèbre, le bitcoin. Tout comme l’AI (avec qui il se combine), le secteur blockchain est très “bankable”.
Principal organe de direction d’une société, incluant ses investisseurs. Sa dénomination exacte varie selon le pays et la forme de la société. Dans le cas habituel des Sociétés par Actions Simplifiées (SAS) françaises, il s’agit généralement d’un « comité stratégique ». Le périmètre des décisions prises par ce comité sont déterminées par le pacte d’actionnaire.
Démarrage de l’activité de la start-up avec des fonds propres très limités, sans investissement extérieur. Les porteurs de projet ne se payent pas à ce stade.
Indemnité financière qui peut dans certains cas être prévue contractuellement en cas de rupture de la termsheet, à la charge de la partie à l’origine de la rupture.
Financement relais, apporté avant une nouvelle arrivée d’investisseurs en capital ou avant une introduction en Bourse, généralement par les investisseurs existant, sous forme d’obligations convertibles et à des conditions préférentielles par rapport aux investisseurs suivants.
Croissance d’une entreprise par rachat d’entreprises généralement de plus petite taille, sur des segments ou des géographies complémentaires. Les entreprises sous LBO font beaucoup de “Build Up” de façon à accroître rapidement la valeur de leurs participations. Mais les start-up financées en font également de plus en plus.
Montant de cash consommé mensuellement par une start-up (dépenses récurrentes, moins ses revenus).
Personnes physiques investissant leur argent personnel et en apportant leurs avis, conseils et réseaux. Il existe de nombreuses associations de business angels, qui investissent souvent à plusieurs sur un même deal (en France : Paris Business Angels, HEC Business Angels, XMP…).
Le « modèle d’affaires », est une représentation synthétique des principaux aspects de la création de valeur d’une organisation, tant au niveau de ses finalités (objectifs, offres, stratégies) que des ressources et moyens déployés. Dans la création d’entreprise ou d’activité, la rédaction du business model (à ne pas confondre avec le business plan), constitue un exercice majeur, car il donne un aperçu complet de la capacité du projet à créer de la valeur plus ou moins rapidement.
Document détaillé préparé par une start-up pour expliquer les objectifs de la société, avec une focale sur les previsions financières. Ce document est important pour lever des fonds. Il est aussi préparé de façon annuelle par les start-up pour approbation par le board.
“Faire le buzz” : capacité d’une start-up à faire parler d’elle (notamment via les réseaux sociaux) et à créer une excitation, générant au passage des retombées dans les médias.
Classe d’investissement en capital en fonds propres dans des start-up. Selon la maturité du projet à financer, le Capital Risque se subdivise comme suit :
Désigne la revente d’actions en cash (partielle ou totale) avant une opération de liquidité totale des titres (revente ou IPO). Cela se fait généralement à une valeur négociée inférieure au dernier prix de l’action lors d’une augmentation de capital (dite opération de « Cash In »). Par extension, “cash-outer” veut dire vendre (une partie de) ses actions en cash.
Taux d’attrition, c’est-à-dire la proportion de clients perdus sur une période donnée.
Période minimale (typiquement 1 à 2 ans) pendant laquelle il est nécessaire de rester dans une start-up pour pouvoir exercer des stock-options.
Dernière étape d’un investissement (ou d’un désinvestissement), à l’issue de laquelle tous les documents juridiques sont signés, les fonds sont versés par les investisseurs financiers et la transaction est réalisée. On signe généralement 3 types de contrats : Pacte d’actionnaire, Protocole d’investissement et Bulletins de souscription. On peut y signer en plus une Garantie d’Actif et de Passif et des « Side Letter ».
Compétence clé dans une start-up, c’est la personne chargée de créer et gérer une communauté autour de l’entreprise. Elle est chargée de gérer les comptes des réseaux sociaux de l’entreprise.
Fonds d’investissement venture d’une grande entreprise (“Corporate”). Près d’une levée sur cinq dans les start-up se fait avec l’aide d’un “CVC”.
Méthode de valorisation des entreprises se basant sur la valorisation d’autres sociétés du secteur, puis en réalisant une péréquation sur les chiffres d’affaires ou les bénéfices.
Espace de travail partagé, ouvert et convivial, incluant des lieux de réunion, de rencontre, encourageant généralement l’échange et l’ouverture. Les coworking space ne sont pas occupés que par des start-up à la différence des incubateurs.
Outils et méthodes de transactions financières qui font appel à un grand nombre de personnes afin de financer un projet, soit en capital, soit en avance sur le projet. Ce mode de financement se fait via des plateformes de financement participatif sur internet. En France, le crowdfunding en capital nécessite un agrément spécifique de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) et est limité à 2,5 M€.
Flux d’affaires potentielles, d’un fonds d’investissement ou d’une start-up. Il comprend l’intégralité des opportunités apportés par des relations personnelles, des intermédiaires spécialisés, des événements, des réseaux affiliés, ou directement par les entrepreneurs eux-mêmes.
Présentation power point courte (10 à 20 slides) qui couvre tous les aspects d’une start-up de façon concise et attractive, généralement réalisé avec l’aide d’un designer professionnel.
Le succès de nombreuses start-up viennent de leur capacité à “disrupter” (du verbe anglais “to disrupt”) un marché existant via une innovation. Par exemple, Uber a “disrupté” le marché des taxis. Les start-up vont très fréquemment avoir comme objectif de disrupter un marché pour trouver un axe de création de valeur nouveau.
Tout va bien jusque là ? on continue ? (oui le startup est une vraie langue)
Actions, en anglais. « Rémunéré en equity » : payé en actions, plutôt qu’en cash.
Se dit d’une structure d’investissement qui n’a pas une durée de vie bornée, parce qu’elle a des rentrées de cash récurrentes et de ce fait pas besoin de lever de l’argent régulièrement, et-ou qu’elle n’a pas besoin de rendre de l’argent à ses investisseurs dans un pas de temps strictement borné, à la différence des autres fonds d’investissement (FCPR…). Les structures evergreen sont peu nombreuses dans le venture et ne sont pas agréées.
Procédé d’expérimentation rapide de leviers marketing de croissance, conventionnels et non-conventionnels, à travers de multiples canaux pour identifier les plus efficaces. Les « Growth hackers » utilisent souvent des techniques peu coûteuses, comme l’adressage de prospects via les réseaux sociaux professionnels ou le marketing viral. Les accélérateurs s’entourent de ces compétences pour aider les start-up et les intrapreneurs.
Concaténation de Hack et de Marathon, un hackathon est un événement généralement initié par une communauté se réunissant dans un même lieu durant 2 à 3 jours pour former des équipes développant des projets innovants sur une thématique donnée. De nombreuses start-up sont nées d’un projet initié lors d’un hackathon.
Commercialisation d’une nouvelle monnaie virtuelle, ou Crypto-monnaie, dont la sécurisation des transactions est assurée par une technologie Blockchain (voir plus haut). Les unités de valeur (Tokens) ainsi prévendus, peuvent permettre d’acheter les produits actuels ou futurs de la start-up qui les émettent, c’est alors une forme de crowdfunding. Les ICO sont une forme de financement non dilutive pour les start-up, speculative et en forte croissance.
Structure d’accompagnement des start-up, incluant notamment un espace de travail dédié, des locaux qui sont adaptés à leur activité (espaces ouverts, espaces de réunion…), et des services à valeur ajoutée (juridique, comptable, formations, levée de fonds…) qui varient d’un espace à l’autre. Un incubateur peut être public ou privé, spécialisé ou généraliste. A la différence d’un accélérateur, la durée de séjour n’est pas strictement limitée, le loyer est généralement payant et l’incubateur ne prend pas de participation au capital. De nombreuses collectivités soutiennent des incubateurs ou en sont à l’origine, avec pour objectif d’encourager l’innovation et la création d’emplois.
Les start-up en choisissent généralement un nombre réduit et les suivent régulièrement. Il peut s’agir du nombre d’utilisateur, de taux de conversion, de chiffre d’affaire par utilisateur, du coût d’acquisition…
Acquisition d’une entreprise par des investisseurs en capital, généralement associés aux dirigeants de l’entreprise achetée, dans le cadre d’un montage financier comportant une proportion plus ou moins importante d’emprunts (faisant levier ou “leverage”), dont le remboursement est prévu sur les bénéfices futurs de la société. Lorsque les dirigeants rachètent sans investisseurs externes, il s’agit d’un “Manager Buy Out” ou MBO. Il s’agit d’une des “exits” possible pour les start-up arrivées à maturité.
Terme surtout utilisé dans le marketing B2B (vente à des entreprises), il s’agit d’un prospect, d’une opportunité commerciale. Un “sales” travaille ses Leads en faisant avancer son “pipe”, c’est-à-dire l’entonnoir des clients potentiels qu’il a détecté pour la société. Un contact d’une société qui est dans la cible, mais qui n’a pas forcément de projet, sera qualifié de MQL ou “Marketing Qualified Lead”. Un MQL qualifié par un vendeur va rentrer dans le pipe comme SQL ou “Sales Qualified Lead”, avec une pondération de cloture typiquement de 10%. Lorsqu’on lui fait une présentation pour laquelle il est intéressé, il va progresser à 30%, pour monter à 50% si on lui envoie un devis qu’il a sollicité. On monte à 80% s’il y a une validation orale, et 100% si le deal est signé, et la première facture envoyée. Le rapport MQL/SQL et le taux de transformation des SQL sont les indicateurs de suivi de l’efficacité marketing de la société.
L’expression « Lean Startup » (de l’anglais lean, « maigre ») renvoie à une approche spécifique du démarrage rapide d’une activité économique (ou par extension du lancement d’un produit), avec un investissement minimal. Elle repose sur la vérification de la validité des concepts, l’expérimentation scientifique et le design itératif. Elle tend à réduire les cycles de commercialisation des produits, à mesurer régulièrement les progrès réalisés, et à intégrer rapidement les retours de la part des utilisateurs. Le concept formalisé en 2011 par Eric Ries sur des entreprises high-tech de la Silicon Valley a connu un grand succès à travers le monde, notamment grâce à son livre, “The Lean Startup”, ouvrage de référence pour le lancement de start-up.
Start-up qui dépasse le milliard de dollar de valorisation, et qui de ce fait concentre l’essentiel de la rentabilité des investisseurs. Cela représente 0,2% des start-up aux US. Elles sont encore rares en France : Blabla Car, Talend, Criteo, OVH…
Pour les nombreuses start-up qui proposent des services initialement gratuits, la monétisation est le moment où elle décide de générer des revenus, et par extension les canaux choisis pour cela : publicité, options payantes pour bénéficier de services additionnels (le “freemium”), abonnements, commissions, déclinaison du service pour les entreprises (en “B2B”)…
Stratégie de développement de produit, utilisée pour de rapides et quantitatifs tests de mise sur le marché d’un produit ou d’une fonctionnalité. Cette stratégie a été popularisée l’ouvrage “Lean Start Up” d’Eric Ries. Elle est couramment utilisée aujourd’hui pour le développement de nouveaux business modèles et nouveaux produits, pas seulement en start-up.
Prix de l’action lors de la création de la société. Si une société est créée avec 1000 actions et un capital social de 1000 euros, le prix nominal de l’action est 1 euro.
Méthodologie utilisée pour définir et suivre (“tracker”) l’avancement des principaux indicateurs mesurables de succès d’une start-up. Les OKRs sont largement partagés dans l’organisation qui les pratique, et très répandues y compris dans des grandes sociétés de la Silicon Valley (Google, Twitter…)
Projet d’une personne (ou d’une équipe) qui lui tient particulièrement à coeur mais qui n’a rien à voir avec la mission principale. Vient de “pet”, animal domestique.
Réorientation (radicale) d’une start-up lorsque la stratégie initiale ne fonctionne pas : choix d’un nouveau business modele, ou d’une nouvelle cible client, utilisation de la technologie pour développer un autre produit…
Présentation orale très synthétique du projet d’une start-up, de sa mission et de ses ambitions, en 30 secondes à 3 minutes maximum. Sa préparation est méticuleuse, et elle met généralement en avant les motivations personnelles des fondateurs pour s’être lancés dans le projet, les problèmes qu’ils ou elles ambitionnent de résoudre et les marchés qu’ils souhaitent “disrupter”. Le pitch doit donner envie d’en savoir plus, pour devenir investisseur ou client.
Prise de participation en capital dans des entreprises non cotées. Ses segments :
– le capital-risque : démarrage de nouvelles entreprises (voir ci-dessus)
– le capital-développement (« CapDev ») pour financer le développement de l’entreprise.
– le LBO destiné à accompagner la transmission ou la cession de l’entreprise.
Le terme “Private Equity” vient du fait qu’il désigne les opérations d’investissement en capital autres que celles dans les entreprises « Publiquement cotées » dans des marchés boursiers.
Technique de publicité en ligne utilisée par les spécialistes du marketing pour refaire de la publicité auprès des personnes qui ont déjà visité leur site Web. Quand vous voyez partout sur le web des annonces pour un article que vous avez vu chez un e-commerçant, c’est du retargeting. Le leader mondial du sujet est la “licorne” française Criteo.
Capacité d’un site Web à afficher son contenu avec un confort de navigation optimal pour toute taille d’écran (tablette, smartphone ou ordinateur) et pour tout type de browser. Toute start-up doit avoir un site “responsive”.
Temps pour lequel une start-up encore déficitaire a du cash de disponible sans nécessité d’une nouvelle levée de fonds.
Désigne la capacité d’un produit à “passer à l’échelle”, c’est-à-dire à s’adapter à un fort changement d’ordre de grandeur de la demande, tout en maitrisant la hausse des coûts associés. C’est une des premières questions posée à une start-up puisqu’elle est au coeur de son attractivité et de sa création de valeur.
Est un méthode de travail agile utilisée dans le développement de logiciels, et très répandue en start-up. Elle est conçue pour des petites équipes de développeurs (3 à 9) qui coordonnent leur travail et le décomposent en actions qui peuvent être complétées dans des temps courts, appelées Sprints (30 jours ou moins), dont les progrès sont suivis quotidiennement dans des réunions courtes appelées Daily Scrums.
Ensemble de méthodes permettant à un site web d’être trouvé et mis en bonne position par les moteurs de recherche (type Google). Grâce à des solutions diverses, un site parvient à améliorer ainsi son “traffic naturel” très précieux car non payant, par opposition au SEM (Search Engine Marketing) qui consiste à acheter du traffic (mots clés…).
Entrepreneur ayant déjà revendu une ou plusieurs start-up. Le taux de succès des “serials” étant important, ils sont “bankables”.
Convention conclue entre les actionnaires de la société (fondateurs et investisseurs en capital) pour organiser leurs relations en tant qu’actionnaires. Le pacte d’actionnaire détaille tous les aspects de la gouvernance de l’entreprise par un « comité stratégique », ainsi que les droits des actionnaires (droit d’information, droit de premier refus, drag along, tag along, droit d’agrément, confidentialité…).
Dans beaucoup de start-up, meeting hebdomadaire court où tout le monde est debout et où les principales nouvelles sont échangées.
Société nouvellement créée. Dans le sens couramment adopté, il s’agit d’une société innovante visant une croissance rapide par des leviers de “scalabilité”. Start-up est invariable en français, mais prend un s au pluriel en anglais. Les sociétés de service ne sont généralement pas qualifiées de start-up.
Société dont la mission est de lancer de nombreuses start-up dans une logique de répétition, voire une logique industrielle.
Phase de démarrage de la start-up où elle choisit de ne pas encore parler de son projet, généralement pour mieux gérer la concurrence, ou parce qu’elle se cherche encore.
La traction d’une start-up désigne l’intérêt mesuré pour son produit de la part de ses clients, que ceux-ci payent ou qu’ils ne payent pas.
Taux mesurant la rentabilité annualisée moyenne d’un investissement constitué de flux négatifs (décaissements) et de flux positifs (encaissements). Il est utilisé pour mesurer et suivre l’évolution de la performance des opérations de Capital Investissement.
L’UX est le résultat et le ressenti de l’expérience de l’utilisateur lors de l’utilisation ponctuelle ou récurrente d’un produit ou d’une interface. Le travail sur l’experience utilisateur, souvent effectué par un designer, vise à optimiser la satisfaction lors de l’utilisation de fonctions et la manière de les faire évoluer tant sur la forme, sur le fond, que sur la manière d’y accéder. La rapidité d’accès aux fonctions les plus utilisées est un des objectifs de l’UX Design. C’est un facteur clé de succès des start-up, et des entreprises digitales en général. Les accélérateurs proposent souvent des compétences d’UX Design aux start-up qu’elles accompagnent.
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